Pourquoi le télétravail est le grand oublié du nouveau protocole sanitaire en entreprise
Publiée ce lundi, la nouvelle version du document ne modifie pas les obligations en matière de télétravail alors que l’épidémie repart fortement à la hausse.
Publiée ce lundi, la nouvelle version du document ne modifie pas les obligations en matière de télétravail alors que l’épidémie repart fortement à la hausse.
La Confédération française de l’encadrement – Confédération générale des cadres dénonce une réforme “populiste” et “dégueulasse”, notamment sur la mesure de dégressivité des indemnisations des cadres alors qu’ils financent, selon lui, “40 % des ressources de l’assurance chômage”.
C’est un thème qui monte : l’ennui au travail. Il concernerait neuf Français sur dix. Un remède à cela : mieux écouter les salariés.
Aération, distanciation sociale, port du masque, télétravail recommandé… constituent les principales mesures anti-Covid dans les entreprises recommandées par le nouveau protocole sanitaire du ministère du Travail qui entre en vigueur ce lundi.
Le ministre de la Santé n’a pas annoncé de mesure de renforcement du télétravail ce jeudi, mais a appelé à faire preuve de davantage de vigilance.
Alors qu’Élisabeth Borne doit rencontrer les partenaires sociaux jeudi matin, le protocole sanitaire en entreprise ne devrait pas évoluer, selon l’entourage de la ministre du Travail.
Les entreprises redoutent un nouveau durcissement des règles face à la cinquième vague. Les organisations patronales tirent d’ailleurs le signal d’alarme.
Face à une nouvelle flambée du nombre de contaminations en France, l’exécutif a annoncé qu’un Conseil de défense sanitaire se tiendrait mercredi.
Depuis 40 ans, le taux de chômage n’est jamais repassé sous la barre des 7%. S’il existe toujours une marge de chômage structurel, celle de la France reste plus élevée que ses voisins du nord malgré la vivacité du marché de l’emplo
Le pré-rapport du Haut conseil pour l’avenir de l’assurance maladie propose quatre pistes. Les deux premières sont assez simples et ne révolutionnent pas le système de santé. Les deux dernières impliquent une transformation de la protection maladie.